L'an V de la révolution

  Frantz Fanon, un présumé ennemi conçu par le colonialisme français devient un vrai fils pour l’Algérie.
Venant en simple psychiatre, voulant exercer sa fonction dans le souhait d’explorer cette nouvelle race humaine, nommée indigène. Mais au lieu de tout ça, il découvre un peuple ayant ses traditions, ses coutumes, ses principes, sa religion, bref.. sa Culture.
  Il découvre un peuple qui est loin d’être nommé indigène. Il découvre la femme algérienne cachée sous son "haïk" longtemps jugée comme femme soumise au lois et au caprices de l’homme.. Dissimulant sous ce voile la pudeur, la beauté, mais aussi le mystère. Un voile qui frustre la France, car devenu une nouvelle arme camouflant les bombes, et les fusils. Ainsi la France tente de "convertir cette femme, la gagner au valeur étrangères, l’arracher de son statut.. Pour déstructurer la culture algérienne".
  Mais en vain, cette même femme use de cette ruse comme une nouvelle stratégie de guerre, en s’infiltrant au cœur de l’ennemi, en gagnant sa confiance, et en se révoltant contre lui, et non pas contre l’homme algérien dont elle a été considérée comme soumise. En faisant avec lui “un couple qui porte la mort à l’ennemi, et la vie à la révolution".
  Il découvre que l’homme "indigène" retissant à la médecine du colon, n’est qu’en fait qu’un homme qui a sa propre médecine dont il fait confiance.
  Il découvre que l’homme "indigène" "considéré comme inaccessible au raisonnement, ou à l’expérience" n’est qu’en fait qu’un homme de principes, de perspectives, et de grandes ambitions pour sa patrie et pour sa révolution.
  Il découvre une France venant sous le mensonge de civiliser un peuple considéré bestial, le déraciner de sa propre culture, et que ce même mensonge devient un "aspect positif de la nouvelle vérité de la nation".

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